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Par anonimazur le 13 Juillet 2014 à 01:51
- Un baiser sur la main : signe de respect
- Un baiser dans le cou : signe de passion
- Un baiser sur le nez : signe de trahison
- Un baiser sur le pied : signe de soumission
- Un baiser sur les lèvres : signe d'amour
- Un baiser sur le front : Affectueux, amical et protecteur
Autres signes distinctifs :
- Presser la taille : je te désire
- Prendre la main : j'accepte tes pensées
- Mordiller l'oreille : je veux ton cœur
- Regarder dans les yeux : m'aimes tu ?
- Montre portée à l'envers : cœur libre
- Main sur le front : Je t'aime à la folie
Baiser sur la joue :
Entre gens qui partagent une relation proche, le baiser sur la joue est donné comme un accueil ou un départ, s'embrassant l'un l'autre sur la joue (pendant que les joues se touchent. On parle alors de bises et leur nombre varie selon les régions (dans le Sud de la France, elles se font par deux et en Vendée, elles se font par quatre à titre d'exemple). Deux baisers sur la joue permettent à deux amis de se saluer, d'abord à gauche puis à droite. Deux hommes peuvent s'embrasser en guise de salut, principalement dans le cadre d'une parenté, d'une amitié ou entre jeunes. Dans beaucoup d'autres pays, le baiser sur la joue n'est pas courant, l'embrassade étant remplacée par une intense accolade.
Référencement du nombre de bisous par région en France
Baise-main :
Autrefois, un homme montrait son respect et sa gratitude à l'attention d'une femme au travers de ce baiser de la main. Le baise-main est un geste de galanterie pratiqué par l'homme pour présenter ces hommages à une dame, en référence à l'amour courtois, tout en accompagnant le geste d'une légère révérence. Dans la tradition arabe, le baise-main est utilisé comme signe de respects pour les plus âgés.
Baiser amoureux :
Une expression d'affection romantique implique deux personnes s'embrassant sur les lèvres et qui se transforme sous la chaleur du désir, en baisers sur différentes parties du corps, d'où la langue est souvent utilisé dans le baiser amoureux.
Baiser papillon :
Un acte de tendresse, de gentillesse avec une personne que l'on apprécie où que l'on aime, à ne pas confondre avec la bise d'amitié. C'est une douceur, un battement de cil, une caresse sur la peau douce comme le battement d'aile d'un papillon.
Baiser des petits bobos :
Presque tous les enfants le connaissent et s'en réconfortent quand ils ne vont pas bien. Pour un genou écorché, une morsure de guêpe ou encore une bosse à la tête, il permet aux mamans d'envoyer la douleur très loin, par le biais d'un baiser, comme un oiseau imaginaire qui partirait au loin et emporterait une partie du chagrin. On n'oubliera pas non plus que même pour les adultes, un baiser de sa (ou son) partenaire sur les petits maux, reste la meilleure des consolations.
Baiser Esquimau :
Les esquimaux ou plutôt les inuits se frottent mutuellement le nez. Cette pratique s'expliquerait par un souci de vérifier la température de l'autre dans des contrées où des membres peuvent geler. Cette culture existe aussi aux Emirats Arabes Unis, entre les membres d'une même famille. En nouvelle-Zélande, on l'appelle le salut "Hongi"
Baiser à la Russe :
En Russie, traditionnellement, que l'on soit homme ou femme, tout le monde s'embrasse d'un baiser sur la bouche. Cette pratique n'a pourtant rien d'indécent dans la mesure où elle est davantage signe d'entente cordiale, d'amitié et de convivialité
En conclusion, le baiser est un geste voluptueux qui se déclinent sous des formes infinies : baiser mouillé, sucré, gourmand, violent, doux, furtif, langoureux,...
Parce que le baiser est un langage à part entière : vous pouvez exprimer vos émotions, montrer votre désir, votre plaisir ou encore votre tristesse.
1 commentaire -
Par anonimazur le 2 Juillet 2014 à 11:13
Cette superstition remonte à l'antiquité.
Le fait de risquer sept ans de malheur si l'on brise un miroir tire ses origines au 1er siècle, sous l'empire romain. A l'époque, on croyait que les miroirs, alors rares et précieux, renvoyaient l'image des corps mais aussi des âmes.
Casser son reflet revenait ainsi à abimer son âme.
La durée de 7 ans est quant à elle liée aux "cycles de vie" des Romains. Ceux-ci estimaient qu'une personne évoluait par paliers de sept ans (de 0 à 7, de 7 à 14 etc), chaque étape forgeant la personnalité de l'individu.
En conséquence, si l'on brisait un miroir, la malédiction devait courir jusqu'à la fin de son cycle, soit au maximum 7 ans et ne pouvait être levée qu'au commencement d'un nouveau.
La croyance a ensuite perdurée au fil des siècles.
Info. trouvée sur le net
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